2020 ? quelle année ! et c’est pas fini !
Après avoir attaqué très fort en février le débroussaillage au vallon de Jaume, il a fallu se confiner, puis la floraison abondante a permis d’envisager une année huileuse, eh bien non ! nous avions tout faux !
Les rares olives courageuses qui avaient affronté la sécheresse de cet été ont perdu patience et ont rejoint le sol, notre ancien moulin n’a même pas ouvert, la date de récolte fixée à la fin des vacances de la Toussaint, période d’astreinte pour les grands parents, n’a pu être respectée car un re-confinement sournois l’a repoussée à … 2021 !
CE N’EST PAS GRAVE ! faute de grives nous mangerons des merles ! y’en a plus ! ben alors nous mangerons des oursins ! y’en a plus ! nous mangerons des limaçons ! trop tard c’était en septembre !
Il reste bien quelques gratte-culs que nous allons contester aux perdreaux …
CE N’EST PAS GRAVE ! NOËL est toujours prévu au 25 décembre !
Et la liste des bonnes nouvelles s’allonge de jour en jour, par exemple :
Un panda a été signalé au vallon de Jaume !
Nous conseillons à sa femelle de lui planter quelques bambous …
Un arbre à palabres est maintenant équipé d’un banc
Les ABEILLES DE LA CÔTE BLEUE ont placé leur rucher à 100 mètres à l’ouest du vallon de Jaume
L’olivier n’est pas une plante mellifère mais la présence d’un rucher est un attrait supplémentaire pour le vallon.
La reproduction de l’olivier est complexe, certains arbres sont auto-fertiles, d’autres nécessitent des pollens d’autres oliviers, et tant mieux , à 300 mètres à vol de pollen au nord ouest du vallon, dans l’axe du mistral, se trouve l’oliveraie du Romaron autour du cabanon des chasseurs ! encore un gage de réussite.
De quoi agrémenter une promenade formatrice pour la génération qui découvre les trésors des collines
Laisser un commentaire