La récolte 2025 s’est réalisée avec le minimum de dénivelé … sur les escabeaux, donc un minimum de risques de chutes.
Moins d’escabeaux donc plus de travail avec les vibreuses, les trois machines n’ont pas chômé.
Les bâches sont toujours aussi efficaces.
Les caisses ajourées de 34 litres sont parfaites.
Du temps a été gagné en zappant le ramassage manuel sur les bâches, olive par olive, remplacé par un regroupement des olives sur la bâche et un basculement direct dans la caisse !
Et les brindilles et feuilles ? C’est là qu’intervient l’effeuilleuse qui a été achetée en 2025, chaque caisse est vidée le soir dans cet appareil qui sépare les feuilles et autres déchets et les olives se retrouvent bien au propre dans leur caisse !
Et la cueillette manuelle ? Elle fut pratiquée avec délice au Romaron où la taille que nous avons pratiquée paye ses fruits !
Ailleurs elle se justifie après le passage du peigne électrique, pour les olives récalcitrantes, pour les oliviers trop touffus où les vibreuses ont bien du mal à pénétrer.
Le réflexe devant un olivier chargé c’est de commencer à cueillir olive par olive, erreur ! le réflexe doit être de mettre en place les bâches, puis d’attaquer avec les vibreuses et ensuite d’assurer la finition en cueillette manuelle.
La capacité de cueillette d’un peigne électrique est de 5 à 10 fois celle d’un cueilleur manuel !
Chantal a confectionné des tabliers et des poches kangourou améliorant le confort en cueillette manuelle par rapport aux seaux, avantages : deux mains de libre ! inconvénient : il faut sauter comme les kangourous …
Le lieutenant HERBERT a transformé son KANGOO en transport de troupes et accouplé sa remorque spéciale vibreuses !
La TOY de Christian a encore fait la preuve de ses qualités en tout terrain lors de la cueillette à l’espace HERZOG !
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